Entrevue avec Jonathan Lamer

Jonathan Lamer, cofondateur du Groupe Boostr, nous livre ses expériences, sa vision, et son parcours entrepreneurial le jour de sa fête!

Introduction et présentation:

 

Entrevue avec Jonathan Lamer du Groupe Boostr

Opp : Jonathan, salut! Ça va bien ?

Jonathan : Très bien et toi ?

Opp : Ça va super bien, merci ! Merci de te présenter ici et d’avoir pris le temps pour nous aujourd’hui en cette journée d’anniversaire pour toi ! 

Jonathan : Yessss !

Opp : Un beau 22 ans ? 

Jonathan : 34

Opp : J’étais proche ! Tu es un entrepreneur, tu as commencé cette magnifique compagnie et magnifique produit qui est Boostr. Je vais te poser la question, puisque nous la posons dans toutes nos entrevues : quel est ton « why » ? Pourquoi es-tu devenu entrepreneur ? Pourquoi as-tu lancé ce produit-là ? 

Jonathan : Mon « why », comme tout jeune entrepreneur c’est de devenir millionnaire ! Au-delà de ça, je pense vraiment que pour la croissance de ma personne, de m’amener à un autre niveau, personnel surtout. Je souhaitais arriver à me transformer à travers cela et atteindre des objectifs que personne n’a atteints avant. Dans le fond, le surpassement de soi. 

Opp : Ton objectif à court, moyen et long terme quel est-il ? Tu as inventé Boostr, tu l’as développé, peux-tu nous en parler. Où aimerais-tu apporter cette compagnie-là ? 

Jonathan : J’aimerais amener l’entreprise à l’Internationale ! En dedans d’un an, nous sommes pratiquement pancanadiens et d’ici la fin de 2016, nous allons l’être officiellement. Nous sommes présentement en négociation de contrats pancanadiens, tout comme nous sommes à l’ouverture de comptes aux États-Unis en ce moment même. Puis, nous avons des pourparlers en Europe pour la fin 2017.

Opp : Si l’on parle d’entrepreneuriat, tu me dis que de te développer toi-même à fond. De ton côté, est-ce que c’est ta première expérience Boostr en entrepreneuriat. 

Jonathan : Non, ma première compagnie je l’ai eu à 18 ans. J’avais une petite compagnie de lavage de vitre et de peinture extérieur/intérieur. Nous faisions beaucoup de porte-à-porte à cette époque, donc j’ai développé mon sens de la vente. À partir de là, j’ai eu d’autres entreprises. À 23 ans, j’ai eu une entreprise plus sérieuse qui a fonctionné durant plusieurs années. J’ai fait partie de plusieurs « start up », plusieurs entreprises qui n’ont pas toutes bien fonctionné et d’autres ont bien été. 

Opp : Tu as donc toujours baigné dans ce milieu-là qu’est l’entrepreneuriat ! Tu n’as donc jamais été dans le typique 9 à 5 ? 

Jonathan : Oui, en fait, je l’ai été et d’ailleurs, je n’ai pas aimé ça !

Opp : Tu y as goûté un peu pour savoir que ce n’était pas fait pour toi ?

Jonathan : Aucunement, je pense que d’être pris dans un 9 à 5 tu te brimes de ta capacité personnelle d’être capable d’atteindre tes rêves, tes objectifs de vie. 

Opp :  Qu’est-ce qui t’a poussé justement à 18 ans ? Tu t’es dit : « Bon, je lance cette entreprise-là de lavage de vitres et de peinture extérieure ! » qui est un classique pour les étudiants ! À la base, à 8 ans quand tu jouais aux LEGOS ou au G.I. Joe, est-ce que tu te disais que tu voulais être entrepreneur ?

Jonathan : À 14 ans, j’ai dit à mes parents que je serais multimillionnaire ! Toute ma famille s’est mise à rire, lors d’un Noël en famille, ça m’avait fait assez marrer à ce moment-là. Mon père m’en a reparlé il y a de ça quelques années, puisque nous sommes en affaires ensemble. Je n’ai jamais dérogé de cette envie et c’est toujours resté mon focus. Des LEGOS à où je suis rendu aujourd’hui, j’ai déjà été dans le milieu de la construction et j’ai bâti à ma façon ma petite empire personnelle. 

Opp : Excellent, donc tu as un but très précis ?

Jonathan : Je n’étais pas capable de recevoir des ordres et me faire dire quoi faire. Dans un 9 à 5, tu n’as pas le choix de prendre l’initiative pour essayer autre chose. Lorsque tu découvres la liberté d’être entrepreneur, les possibilités derrière tout ça sont hallucinantes. Tu ne veux pas revenir dans un 9 à 5, même si parfois c’est dur, parfois tu peux en arracher. La liberté que ça procure, le sentiment d’accomplissement, la confiance que ça donne tu ne retrouveras jamais ça dans un 9 à 5. 

Opp : Actuellement, est-ce que tu travailles que sur un seul projet puisque tu sembles avoir eu plusieurs entreprises ?

Jonathan : Nous avions d’autres projets « on the side », puis nous avons décidé de mettre tout ça de côté. Nous avions une idée de projet que nous voulions lancer mais nous avons mis cela de côté pour ce « focuser » puisqu’il y a plein de belles choses qui est arrivé à Boostr dernièrement. Nous avons décidé de mettre toute notre énergie là-dedans. Souvent, nous sommes portés à faire plein d’affaires en même temps et quand on se met à faire plein d’affaires, on perd le focus sur quelque chose qui est important. 

Opp : Justement, parlant de focus tu parlais il y a quelques instants de l’accomplissement que ça donnait. Souvent, les entrepreneurs nous avons cette qualité et ce défaut de célébrer nos victoires super « high » et « low, very low » aussi. Comment fais-tu pour gérer ça de ton côté ? Est-ce que tu médites ? Prends-tu du temps pour toi-même ?

Jonathan : Le pourquoi tu as commencé à faire ce que tu fais, il ne faut jamais que tu l’oublies et c’est lorsque c’est difficile qu’on est porté à l’oublier. Autant dans l’entraînement, autant dans n’importe quoi que j’accomplisse, quand ça commence à être dur c’est de comprendre pourquoi tu t’es embarqué dans ce projet-là ça fait une grosse différence. 

Opp : Très bien dit ! Tu m’as parlé de ton objectif d’être multimillionnaire, et ce, depuis l’âge de 14 ans. Si tu demandes à n’importe qui à 14 ans s’il veut être multimillionnaire, la réponse c’est oui. Ta passion, elle, pour les affaires à 18 ans tu lances ta business et tu vas cogner aux portes tu devais te frapper à des portes fermées ! Qu’est-ce qui t’a donné le goût de continuer cette passion-là et de te dire : « ok, je comprends que je développe quelque chose et je veux aller plus loin dans le monde de l’entrepreneuriat » ?

Jonathan : J’ai déjà échoué, puis je pense que souvent les gens vont voir l’échec du mauvais œil. Moi, ça m’a motivé encore plus et ma détermination s’est agrandie. Mon niveau de détermination était plus puissant qu’avant. Quand il y a des choses plus difficiles qui arrivent dans ma vie, je suis beaucoup plus porté à les mettre de côté et à ne pas mettre d’emphase sur ça. Tous les échecs que j’ai pu vivre ont été mon moteur pour me faire continuer à avancer, et à avancer et à faire en sorte qu’aujourd’hui je suis ici. 

Opp : Es-tu un positif inébranlable ?

Jonathan : Inébranlable, je crois qu’il n’y a personne d’inébranlable. Nous avons reçu des coups durs, on se pose des questions. Les gens qui me connaissaient vont dire que je suis quelqu’un de positif. J’essaie toujours de garder le verre à moitié plein et non à moitié vide. Je pense que tout le monde devrait adopter cette vision. La vie est trop courte pour s’en faire, nous allons tous mourir de « anyways ». Pendant, que l’on est là nous sommes mieux de « focuser » sur ce que l’on fait et sur nos rêves. 

Opp : Tout à fait ! Très bien dit ! Boostr! Parle-nous de cette petite merveille-là !

Jonathan : Boostr est né, en fait, en 2014, mais ça l’a vu le jour en 2015 et définitivement 2016 nous avons changé notre stratégie. Nous avons décidé d’être sur le terrain, dans les commerces. Au départ, c’était vraiment un projet en ligne. Nous avons vraiment changé notre directive puis, maintenant nous voulons faire de Boostr l’appareil et l’extension de la vie numérique de nos clients, leur donné une puissance d’énergie partout où ils vont aller. Peu importe, où ils sont, n’important quand, lors de n’importe quelle activité d’être capable d’avoir une source d’énergie portable. Dans le fond, nous connaissions d’autres personnes qui avaient des projets similaires et nous avons analysé le marché. Nous nous sommes rendu compte à quel point les gens faisaient des erreurs et nous avons décidé de faire différent des gens. Nous apportons quelque chose de différent sur le marché présentement, nous commençons à nous en rendre compte. 

Opp : Qu’est-ce qui est différent entre Boostr et n’importe quelle autre machine à batteries que je vais trouver sur Amazon à rabais ? 

Jonathan : En partant, nous avons décidé d’être un manufacturier. Beaucoup vont dire qu’ils sont manufacturiers, mais ils ne vont pas faire leurs propres batteries, ce n’est pas à l’interne qu’ils font leur design, ils ne font pas de choix de composantes, ils n’ont pas une latitude de conception. Nous, tout ce que l’on voit dans nos produits il s’agit d’une conception interne. Nous faisons assembler avec des partenaires dans le domaine de la manufacture puisque nous n’avons peut-être pas les fonds pour le faire, puisqu’un jour nous aimerions avoir notre propre usine malheureusement nous n’en sommes pas encore là. Dans le fond, nous avons bâti un produit haut de gamme pour arriver sur le marché avec un produit de qualité en aluminium au lieu d’être en plastique. Nous essayons d’aller chercher une qualité de batteries hors pair, c’est-à-dire une batterie en lithium et d’autres ingrédients qui font que notre produit à une meilleure résistance et une meilleure puissance. Après ça, nous avons deux ans de garantis et nous sommes les seuls en Amérique du Nord à offrir deux ans de garantis sur leur produit. Notre approche est différente, notre design est différent. Nous avons un produit nouveau, plus chic et plus élégant comparativement à bien des produits. Nous sommes compétitifs dans les prix, nous sommes très compétitifs. Nous ne sommes pas agressifs puisque nous ne voulons pas vendre un prix, mais plutôt une qualité, une expérience client, donc nous mettons tous nos efforts là-dessus. 

Opp : Assemblé au Canada ? Designer au Canada ? 

Jonathan : Designer au Canada à 100%, assemblé en Chine. 

Opp : La Chine c’est intéressant ! Je vais te poser la question et tu vas comprendre. Pourquoi la Chine, pourquoi pas le Canada, pourquoi pas par exemple un autre pays qui peut plus émergeant en affaires.

Jonathan : Premièrement, nous avions des contacts. Nous avons un ami à nous qui habite là-bas donc cela nous permet d’avoir une porte, une ouverture de plus que certaines personnes n’ont pas. Les avantages de faire affaire là-bas plutôt que le Québec, au Québec tout est plus cher en frais de salaires. Pour arriver à faire un produit comme Boostr ici, nous ne serions pas dans les prix. Ça serait pratiquement impossible d’arriver à un prix de 169,99$, il serait surement 250$-300$ pour le même produit. 

Opp : Il y a beaucoup d’entreprises qui s’indignent contre ça, fabriquées en Chine, de ton côté tu vois cela comment ? Est-ce que tu te dis pour rester compétitif dans le marché nous devons faire ça ? Il y a beaucoup de gens qui pensent la même chose également dans le textile. De ton côté tu penses quoi des gens qui refusent de faire des affaires avec la Chine ?

Jonathan : C’est correct, moi, je respecte ça ! Autant que nous, nous avons pris une décision. Si nous pouvions faire le produit ici, on le ferait. Peut-être qu’avec le temps, nous allons être capables d’amener certaines composantes à être produites ici. C’était dans notre objectif de départ, sauf qu’à court terme quand tu « start », tu ne peux t’empêcher de « starter » parce que tu manques de fonds. Souvent les gens se disent : « ouais, mais je n’ai pas l’argent ». Fais-le et tu trouveras une solution au fur et à mesure. C’est un peu ce que nous avons fait, « starter » de rien. Je n’ai rien contre les gens qui refusent de faire des affaires avec l’Asie. Je pense qu’il y a des bons et des mauvais côtés de l’Asie, comme il y a des bonnes et des mauvaises personnes, comme il y a des bonnes et des mauvaises entreprises. C’est seulement de faire une bonne sélection. 

Opp : Excellent ! Je suis d’accord avec toi là-dessus. De ta carrière d’entrepreneur du lavage de vitres / peinture extérieur, je reviens toujours à ça puisque c’est de là que tu as commencé, jusqu’à la technologie. Il s’agit d’un produit technologique qui est devant nous. C’est une passion pour toi la technologie où tu as vu le vent s’en aller de ce côté-là au niveau financier et tu t’es dit : « On va se lancer là-dedans, il y a un manque à gagner » ! 

Jonathan : Premièrement, nous avons vu une opportunité. Deuxièmement, nous étions passionnés de l’entrepreneuriat donc veut, veut pas peu importe le projet tant et aussi longtemps qu’on s’y plaît. Troisièmement, l’électronique c’est quelque chose que nous nous servons. La technologie est quelque chose qui fait partie de notre monde aujourd’hui, donc je pense qu’avoir des bonnes connaissances et d’apprécier les technologies c’est un avantage. Puis, je pense que c’est un produit que j’ai envie d’utiliser, c’est quelque chose dont j’ai besoin tous les jours. Je suis dedans à 100%. 

Opp : Quels sont les défis de cette industrie-là ? Elle est en constants changements ! 

Jonathan : C’est sûr que ce que dans ce que nous avons fait, ce qui est arrivé, c’est un produit qui était immergeant. Le produit était nouveau, il y a eu une sorte d’étincelle. Tout le monde a commencé à sortir des produits similaires. Puis, nous nous sommes rendu compte que sur le marché il y avait beaucoup de gens avec le même design qui était produit en Chine. Ils mettaient seulement un logo et ils le vendaient. Nous avons vu sur le marché qu’il y avait dix produits identiques avec dix prix différents de dix brands différents avec le même « outlook ». Tranquillement, nous voyons des changements dans le marché. Tranquillement ces gens-là se sont tassés des grandes industries tels que Costco qui ne veut pas s’associer avec des produits comme ça. À travers ça, nous avons vu une opportunité de faire un produit différent.

Opp : La croissance dans ton entreprise, tu disais que 2016 vous allez être pancanadien, d’un côté entrepreneurial es-tu content de cette croissance-là ? Je sais que nous ne sommes jamais assez contents, nous sommes contents, mais pas satisfaits ? 

Jonathan : C’est sûr, que nous en voulons plus. Lorsque notre objectif est atteint, on se dit maintenant on pourrait faire ceci ou cela. Au début, nous nous étions dit que nous voulions avoir un départ cent clients, cent points de vente au Québec et présentement, nous en avons trois cents. Nous en avons une centaine en Ontario et nous venons de signer des distributeurs pour deux mille cinq cents points de vente dans le reste du Canada.

Opp : Félicitations ! Comment tu fais pour gérer cette croissance-là, soit au niveau financier, soit au niveau logistique ? Est-ce que tu avais déjà des produits de prêt dans un entrepôt qui prenaient la poussière pour être prêts pour deux mille cinq cents points de vente ?

Jonathan : Non, nous nous sommes adaptés au fur et à mesure. Puis, automatiquement lorsqu’il y a quelque chose qui s’en vient nous essayons de nous adapter à la situation. C’est une nouvelle stratégie à mettre en place, c’est beaucoup de temps. Il faut avoir une vision globale de ce que tu fais et tu regardes en avant en essayant de voir les « shots » qui s’en viennent. 

Opp : Vous devez penser deux coups en avant ! Même chose au niveau financement ? Il faut que tu ailles en chercher pour prévoir ce qui va s’en venir après que tu aies atteint ton premier objectif ?

Jonathan : En partant, quand tu fais des « moves » comme nous venons de le faire c’est alléchant pour des partenaires financiers. Donc, si tu n’es parti de rien et tu as besoin de financement, si tu arrives à faire tes preuves et montrer que ton produit se vend, que tu as un bon produit et que les gens veulent l’acheter bien, aller chercher du financement c’est facile. Quand tu arrives à une étape comme celle-ci tu prouves que tu as des gros clients tu te revires de côté et les gens veulent investir. Tu dois profiter de cette opportunité-là pour t’aider à monter à un autre niveau. Ce niveau-là va te permettre de couvrir encore plus grand, d’avoir un meilleur inventaire, peut-être une meilleure stratégie de développement, meilleur marketing. Tu ne pars pas avec un million dans tes poches, mais, bien avec un strict minimum et tu dois t’entourer de partenaires financiers. 

Opp : Deux questions un peu plus personnelles : la première, est-ce que tu as des mentors en affaires ? Est-ce que tu crois à ça l’approche d’avoir des mentors, d’avoir des anges qui te supportent ?

Jonathan : Je pense que c’est important ! Il ne faut jamais penser que nous connaissons tout. Lorsqu’on est jeune et entrepreneur, nous nous croyons au-dessus de tout parce que nous commençons à avoir du succès. Je crois que c’est l’erreur la pire à faire. C’est bon d’avoir des gens sur qui se fier, des gens d’expérience, des gens qui peuvent t’aider et des gens qui peuvent t’inspirer. 

Opp : Deuxièmement, tu disais que tu avais eu plusieurs entreprises dans ta vie, tu as 34 ans aujourd’hui, ça fait donc 16 ans que tu es en affaires. Tu as un excellent parcours ; tu as eu des succès, tu as eu des échecs. Dans une carrière d’entrepreneur, est-ce que c’est important de se planter selon toi ?

Jonathan : J’ai toujours dit : si tu ne fais pas d’erreurs, tu ne peux pas devenir meilleur. Tu ne dois pas faire exprès pour te planter, mais quand ça arrive tu te regardes dans le miroir et tu regardes ce que tu as fait de pas correct. Tu remontes tes manches et tu recommences le lendemain. Ça te rend plus fort, ça te rend meilleur. 

Opp : C’est quoi pour toi la réussite ?

Jonathan : Écoute, la réussite pour moi c’est la liberté, la liberté financière. J’ai vu mes parents travailler comme des fous pour avoir une retraite. Tous les gestes que j’ai posés ont été faits pour qu’un jour je puisse avoir une liberté financière et pour pouvoir passer du temps avec mes enfants. 

Opp : Merci Jonathan ! 

Jonathan : Ça me fait plaisir ! 

Opp : Merci de ton temps ! 

Jonathan : C’est moi qui vous remercie !

Greg Lanctot

Greg est un créateur de relations hors pair, passé maître dans l'art d'organiser son temps entre sa vie professionnelle et sa passion pour l'haltérophilie et le CrossFit. Il est un entrepreneur qui attaque chaque défi de front. Fort d'un bagage de 10 ans dans les médias, où il est passé par des organisations comme Astral, Bell Média et La Presse (où il a été nommé dans le prestigieux "Top 30 Under 30" d'InfoPresse), il désire maintenant mettre à profit cette expérience pour son autre passion; le café. Sa vision d'une entreprise doit être très près de ses valeurs familiales, équitables, de partage, d'intégrité et de transparence.